Car la démesure de Dubaï n'égale que les formidables possibilités qui y sont déployées : l'argent dont l'Emirat a décidé de faire profiter ses citoyens sert aujourd'hui à développer Dubaï pour assurer son avenir économique quand le pétrole sera tari. Dubaï voit loin. Et c'est là une constante dans la politique de Dubaï, puisque dès le début du XXème siècle, le commerce et Dubaï fait partie des sept émirats composant les Emirats Arabes Unis (EAU). Sa situation au coeur du golfe Arabo-persique donne à Dubaï un climat très agréable. Cette ville-capitale a fondé son économie sur le commerce et le pétrole depuis le début du XXe siècle. Les gisements naturellement présents ont donné à Dubaï le titre de Changement de stratégie pétrolière pour Dubaï, l'un des sept Emirats arabes unis membres de l'Opep. Alors que les prix du brut flambent mais que ses propres réserves s'épuisent, l'émirat a Egalement appelé « or noir », le pétrole génère le plus gros commerce de la planète en valeur et en volume. Angle énergétique. A l’origine de la deuxième révolution industrielle, le pétrole a succédé au charbon et a rapidement suscité un vif intérêt économique pour les pays producteurs. Les Émirats arabes unis (EAU), composés de 7 émirats aux premiers rangs desquels Abou Dabi et Dubaï, sont les 6 e plus importants producteurs de pétrole au monde. Membre de l’OPEP et de son équivalent gazier, le FPEG , ce pays de près de 9,5 millions d’habitants a tiré près de 123 milliards de dollars de ses exportations d’hydrocarbures en 2013. Les atouts de la ville émiratie séduisent de plus en plus d’entreprises internationales. En quelques années, la ville est parvenue à s'imposer comme un véritable hub vers le continent. Dubaï ne produit pas de pétrole, mais il exporte ses services dans les autres pays du Golfe, où la demande est en baisse. Des dettes en pagaille Les véhicules abandonnés étaient déjà le symbole de la crise de 2009, qui avait obligé Dubaï à solliciter l’aide de son voisin Abou Dhabi, gros producteur de pétrole et capitale des Emirats arabes unis, pour un plan de relance de 20
Dubaï ne produit pas de pétrole, mais il exporte ses services dans les autres pays du Golfe, où la demande est en baisse. Des dettes en pagaille Les véhicules abandonnés étaient déjà le symbole de la crise de 2009, qui avait obligé Dubaï à solliciter l’aide de son voisin Abou Dhabi, gros producteur de pétrole et capitale des Emirats arabes unis, pour un plan de relance de 20 Saoudiens et Emiratis accentuent la pression, les prix du pétrole replongent Dubaï: L'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis, deux alliés majeurs au sein de l'Opep, ont accentué la pression dans la guerre des prix pétroliers qu'ils livrent à la Russie, en annonçant qu'ils pourraient inonder les marchés mondiaux d'or noir, dont les cours replongeaient mercredi. Le pétrole de l’émirat de Dubaï continuera à être échangé librement sur le marché international conformément à des contrats établis entre le gouvernement et DPE. Cette prise de contrôle «permettra à Dubaï d’agir librement pour accroître ses réserves pétrolières», selon la presse. La production pétrolière de Dubaï a reculé à 140.000 barils par jour en 2005 contre Dubaï International Airport s’est imposé depuis 2014 au premier rang mondial en termes de passagers internationaux détrônant au passage Londres-Heathrow au Royaume-Uni avec plus de 88 millions de passagers en 2017. Il ambitionne d’accueillir 98 millions de passagers en 2020 et de se hisser à la première place mondiale en termes de flux globaux devant Atlanta et Pékin.
Le commerce extérieur des Emirats Arabes Unis : importations de biens : 261.538 millions USD ; exportations de biens : 316.896 millions USD ; importations de services : 70.987 millions USD ; exportations de services : 70.878 millions USD ; part des importations (41,00%) et exportations (49,00%) de biens et de services dans le PIB, balance commerciale : n/a millions USD, balance des Le commerce de gros et de détail représente un quart du PIB de Dubaï, soit plus de 25 milliards de dollars. Les vastes centres commerciaux de Dubaï comprennent le Mall of the Emirates, qui Il n’a pas de pétrole, mais une ambition démesurée : l’émirat de Dubaï se veut toujours plus haut, plus fort, plus vendeur. Au prix d’une transformation radicale, et sans souci de l’environnement. Visite en treize photos. - Reportage, Dubaï Insolente Dubaï, sorte de Métropolis moderne bien décidée à devenir le centre commercial du monde.
Voici les sociétés qui embauchent actuellement aux Émirats Arabes Unis: emplois en Comptabilité, Banque, Ingénierie, Ressources Humaines, Soins de Santé, Informatique, Marketing, Ventes et plus. Suivant l’exemple de Dubaï, le Qatar et Abou Dhabi, d’abord gros producteurs de pétrole, diversifient leur économie. Ce qui implique du côté des voyageurs d’affaires, un plus grand nombre d’hôtels, davantage d’événements MICE, une meilleure infrastructure, mais aussi des aéroports de plus en plus performants.
Le pétrole Dubai Crude (Fateh) constitue la principale référence pour le pétrole brut en Asie. Le Dubai Crude est originaire de Dubaï, dans le Golfe persique. On donne également le nom ce Fateh à ce type de pétrole brut. Le terme de Fateh vient du nom d'un puits de pétrole offshore situé à 60 miles de Dubaï, et, par conséquent, il Plus le pétrole brut est soufré, plus son raffinage sera coûteux pour obtenir des carburants légers comme de l’essence, du gasoil ou du fioul domestique. Par ailleurs, plus un pétrole brut est lourd, plus sa transformation en carburant léger est compliquée. Le Dubaï Light est ainsi plutôt réservé aux bitumes et aux combustibles lourds. Contrairement aux autres pays du Golfe, Dubaï a su miser sur une autre ressource, plus durable que celle du pétrole : le secteur des services. En effet, le pétrole et ses dérivés ne représentent, aujourd’hui, plus que 3% du PIB. Dubaï abrite actuellement le neuvième plus grand port au monde et le troisième aéroport Le commerce extérieur des Emirats Arabes Unis : importations de biens : 261.538 millions USD ; exportations de biens : 316.896 millions USD ; importations de services : 70.987 millions USD ; exportations de services : 70.878 millions USD ; part des importations (41,00%) et exportations (49,00%) de biens et de services dans le PIB, balance commerciale : n/a millions USD, balance des